L’exploitation du liège, avec la culture de la châtaigne, constituaient deux piliers de l’économie traditionnelle du massif des Maures. Aujourd’hui, il reste peu de traces visibles de la coupe et du liège, l’activité a décliné rapidement depuis quelques dizaines d’années : non seulement on met des bouchons synthétiques sur les bouteilles de vin mais on ne sert plus la bouillabaisse ou la bourride dans des plats en liège. D’ailleurs, il n’y a pratiquement plus de poissons de roche dans les eaux françaises ...
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30/05/2013