Nous sortons des tourbières par un chemin de terre et de pierres. De chaque coté, fougères, ajoncs et bruyères se partagent les lieux. Une violente pluie d’orage transforme subitement celui çi en ruisseau. Pas de quoi se noyer, mais pas non plus possible de rester les pieds au sec. Impressionnant... si l’eau descend a cette vitesse des monts, les tourbières ont de beau jours devant elles sans risque d’être asséchées.
Chemin pierreux
Échelle du sujet : non renseignée