Comme les odonates, les H. S. ixobrychus doivent passer par une phase de maturation suite au réveil consistant à rester quelques instants immobiles, face au soleil, afin de relancer la machine.
Profitons de ce moment de calme pour affiner la détermination de ce spécimen :
– Le blongios a tendance à souvent porter une tenue adaptée à son environnement (mimétisme parfois troublant)
– Le blongios possède parfois une pilosité faciale assez développée.
Le blongios revêt des braies aux motifs psychédélique soixante-huitards faisant office de tenue de nuit.
– Le blongios est capable de dormir dans tous types de milieu à l’improviste (si la météo le permet, faut pas pousser) : ici, au bord de l’Ouvèze, rivière méditerranéenne coulant au nord du Vaucluse.
– Le blongios peut arborer une chevelure assez développée, rappelant un chanteur jamaïcain bien connu.
– Le blongios, originaire du Nord de la France je le rappelle, a le teint pâle, même en plein mois d’août.
– Le blongios possède des manchons en tissu aux motifs rayés lui permettant de ne pas avoir froid aux tarses.