Au pied du terril 37 de Verquin (62), subsistent quelques habitations traditionnelles des mines (les corons).
ses habitations étant encore occupées par des ayants-droits, sans titre de propriété, lorsque l’un des habitants décède, et qu’il n’y a pas d’héritier, la maison est systématiquement détruite.
il ne reste plus à l’heure actuelle que 7 ou 8 maisons, contre une bonne cinquantaine certainement à l’époque de l’exploitation des mines du secteur.
au pied du terril, la végétation arbustive gagne du terrain (bouleaux essentiellement), ce qui ne va pas sans poser quelques questions quant à la préservation de certaines autres espèces végétales plus rares.
photo prise depuis le terril 37.